... comme si je savais ce que j'étais en train de faire !
Quand j’écris que je n’ai pas débuté mon apprentissage, vous vous doutez bien que c’est du pipeau, une coquetterie. Le mot ‘sérieusement’ est induit.
Le désir de comprendre et parler le japonais est venu au moment de réserver un voyage d’agrément à Tôkyô. On parle d’avril 2010, ou aux alentours. Le voyage s’est passé fin novembre 2010. J’aurai l’occasion d’en reparler plus tard. Bref,…
J’ai sauté sur ce que j’avais sous la main – une Nintendo DS (NDS), une connexion internet et Google !
1- J’ai ainsi pu tester dans un premier temps ‘My Japanese Coach’, un jeu sur NDS ;
2- Très rapidement (genre tout de suite), il est apparu évident et consensuel de commencer par le commencement et d’apprendre les kana. Vous trouverez tellement de livres, de sites ou d’applications permettant de les comprendre, de les apprendre ou de les travailler que je ne vais pas commencer à ajouter ma touche personnelle. Google est votre ami !
3- En déambulant , de ci, de là, sur internet, sans but précis, je suis arrivé sur de nombreux sites en français qui proposent des leçons de japonais ou des décryptages divers et variés. Pour n’en citer qu’un ou deux (trois, en fait !) – ici-japon, crapulescorp, juunikagetsu, ++ ;
4- Station suivante : des vidéos sur Youtube ou DailyMotion, la plupart du temps en anglais – on en trouve pour tous les goûts (Ah, les pretty intense japanese lessons d'Emiry...) ;
5- Le papier n’étant pas encore tout à fait mort, je me suis arrêté au Furet du Nord (grande librairie généraliste) et ai acheté différents ouvrages parmi la maigre sélection disponible (Manekineko T1, Kakikata, Assimil vol.3) ;
6- Enfin, j’ai complété tout çà avec une pincée de logiciels divers et variés, en prêts, versions d’essai ou gratuits (apprentissage, dictionnaire, flash-cards et autres).
Après m’être rendu au Japon, j’ai pu me rendre compte que l’anglais me permettait de survivre 15 jours comme touriste et, du coup, ma motivation à apprendre la langue (rapidement) s’est globalement évanouie. Il était temps de passer au plan B.
En fait, j’ai été obligé de me rendre à l’évidence : parler le japonais sans en savoir plus sur les rouages intimes de cette civilisation ne m’intéressait pas – dis moi comment tu parles, je te dirai qui tu es.
(à suivre…)